Un souffle d’incertitude plane sur les hauteurs andorranes! Partie samedi, Thomas n’a pas regagné son point de départ. Ce jeune homme originaire du Tarn-et-Garonne a échangé un dernier message tendre avec sa compagne, avant de disparaître dans la montagne. Ce randonneur français disparu intrigue proches et secours, alors que ses traces s’estompent sous les sentiers escarpés. Les gendarmes et la famille battent chaque recoin pour recueillir le moindre indice.
Première étincelle du randonneur français disparu en Andorre
Tout a commencé jeudi 29 mai 2025, jour férié de l’Ascension. Profitant du pont, Thomas quitte Meauzac pour la principauté, raconte le site ladepeche.fr. D’abord prévu avec des amis, le projet se fait seul : ces derniers n’ont pas obtenu leur congé. Sans faire demi-tour, il gagne les sentiers.
Le randonneur français disparu a vu son téléphone capter un dernier signal en Ariège. Ses proches ont repéré sa position grâce aux photos envoyées depuis l’hôtel Aldosa. Ce petit détail fournit un point de départ essentiel aux recherches. Chaque indice compte dans ce contexte tendu.
Virginie, sa tante, rappelle que Thomas n’est pas adepte des itinéraires techniques. Elle souligne sa passion pour la marche et sa connaissance des sentiers. Pour elle, ce parcours semblait à sa portée. Pourtant, l’inquiétude grandit face à son silence prolongé.
Indices captés au profit du randonneur français disparu
Dimanche soir, l’inquiétude gagne ses proches : Thomas n’est pas rentré comme prévu. Sa compagne alerte la famille, puis la gendarmerie de Valras. Dès lundi, les enquêteurs reçoivent son signal téléphonique. Un bornage tardif en Ariège déclenche les premières investigations.
Dans la nuit, sa carte Ubigi affiche une consommation réduite : seuls 600 Mo sur 3 Go. Ce détail intrigue, car Thomas aime partager ses étapes en direct. Les relectures des factures révèlent un dernier accès à 2 h 30. Encore une piste à creuser.
Le randonneur français disparu n’a pas utilisé son compte bancaire après son départ. Sans réquisition officielle, la banque reste muette sur ses transactions. Ses proches envisagent d’obtenir les images de vidéosurveillance de l’hôtel et d’une station-service voisine.
Enquête familiale et investigations nocturnes approfondies en Andorre
Le samedi suivant, la mère de Thomas se rend à l’hôtel Aldosa accompagnée d’une amie hispanophone. L’objectif : consulter les enregistrements des caméras de l’accueil et de la station-service voisine. Chaque image pourrait révéler sa dernière direction. Les bénévoles espèrent tirer un fil solide pour guider les recherches.
À l’aube, la famille arpente les sentiers où le randonneur français disparu aurait pu s’aventurer. Elles comparent les photos de paysage et les tracés GPS disponibles. L’effort se concentre sur les zones hors des circuits balisés, souvent oubliées.
Les gendarmes andorrans poursuivent leurs vérifications dans les centres de santé et les refuges. Aucun signalement ni consultation n’est enregistré à son nom. Pourtant, l’espoir persiste : la solidarité locale s’organise pour couvrir chaque colline.
Espoir et mobilisation pour des recherches urgentes sans relâche
Les appels se multiplient, les bénévoles se relaient jour et nuit. Chaque indice, aussi minime soit-il, nourrit la détermination de la famille. Le rythme des patrouilles s’intensifie, mêlant professionnels et volontaires. Leur force réside dans l’union et la ténacité. Demain, de nouvelles zones seront passées au peigne fin et l’espoir restera leur guide tout au long de l’attente.
